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Lvlc-35

\newgeometry{top=1in, bottom=1.5in, left=2.4in, right=2.4in} \lvlchead{28} \noindent sublimes qui ne sont point étudiés et recherchés.\linebreak Nous aurions vivement souhaité \qlink{annoII}{de} les faire\linebreak remarquer; mais nous avons dû nous borner\linebreak simplement à signaler, dans notre essai d'inter-\linebreak prétation, la concordance parfaite des récits\linebreak bibliques avec la signification renfermée dans\linebreak les noms propres des hommes dont ils retracent\linebreak le caractère et la vie. \par Une pensée qui se présente tout naturellement\linebreak à l'esprit est celle-ci: en supposant le langage\linebreak des Tectosages comme étant la vraie langue\linebreak celtique, il semble indispensable que les expres-\linebreak sions les plus pures de ce langage se retrouvent\linebreak abondantes dans les noms des chefs de cette\linebreak famille dont l'expansion a presque rempli l'uni-\linebreak vers. On fait remonter à Gomer \INpatro{Gomer},fils \INn{fils} aîné de\linebreak Japheth \INpatro{Japheth}, la paternité de la nation celtique et\linebreak cimbrique; il faudrait donc dans la langue anglo-\linebreak saxonne, que nous appellerons désormais la\linebreak langue celtique, une grande ressemblance avec\linebreak l'hébreu \INn{hébreu}, et dans les termes monosyllabiques\linebreak des deux langues, une certaine conformité, au\linebreak moins pour une grande partie des mots qui\linebreak composent les noms propres, sinon pour la tota-\linebreak lité de la langue. Cette pensée a un fondement\linebreak trop assuré pour que nous n'examinions pas si\linebreak la langue celtique pourra expliquer les noms\linebreak des premiers hommes cités dans les livres de\linebreak \restoregeometry \pagebreak