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Lvlc-208

\lvlchead{201} \noindent hard, pénible, dur – ; les Vandales \INtribu{Vandales} eux-mêmes,\linebreak qui n'avaient point de maisons, et détruisaient de\linebreak fond en comble les monuments et les maisons des\linebreak autres peuples, – to want (ouâunt), n'avoir point,\linebreak – hall, maison ; tous, malgré leurs noms diffé-\linebreak rents, ne laissaient pas que d'appartenir à la même\linebreak famille de Gomer.\newline \centerline{III} \centerline{LES FRANKS. LEUR ORIGINE.} \nosubsection{III LES FRANKS. LEUR ORIGINE.} \par Les Franks \INtribu{Franks} formaient sur la rive \INn{rive} droite du\linebreak Rhin une confédération de tribus, se confondant\linebreak dans une dénomination \INn{dénomination} générale, qui était pour\linebreak eux comme un signe de ralliement. Ils se faisaient\linebreak gloire d'un caractère généreux et sincère, –\linebreak \qlink{annoVI}{frank\rotatecomma{}} sincère, – et avaient renoncé à l'ancien\linebreak titre de pillards conservé seulement dans une de\linebreak leurs tribus. Leurs sentiments de pudeur et de\linebreak réserve étaient gravés dans le nom des Chamaves,\linebreak – shame (shème), pudeur, – to have, posséder,\linebreak – compris dans cette confédération. Voici \qlink{annoVI}{n}n \INerr{un→nn}\linebreak portrait des Franks \INtribu{Franks} fait par un poète latin, à peu\linebreak près dans le temps où ils commençaient à s'éta-\linebreak blir dans les Gaules : « Ils ont, dit il, la taille\linebreak haute, la peau fort blanche, « les yeux bleus ;\linebreak \pagebreak