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\newgeometry{top=1in, bottom=1.5in, left=2.4in, right=2.4in} \lvlchead{10} \noindent le latin. Ils devaient donc avoir une origine com-\linebreak mune et, sans oser l'affirmer, il a soupçonné que\linebreak le celtique et le gothique provenaient de la même\linebreak source que le sanscrit. \par La grammaire comparée des langues euro-\linebreak péennes de François Bopp a expliqué ensuite\linebreak , comment les lois grammaticales permettent de \linebreak découvrir \INn{découvrir} dans le sanscrit, le persan, le grec, le\linebreak latin et le gothique, non plus une simple affinité,\linebreak mais une réelle communauté d'origine. \par Tout récemment encore, \texttt{« M.Tregear} a lu\linebreak \texttt{« devant} la société philosophique de Wellington,\linebreak \texttt{« une} étude sur les Maori en Asie. Il a cité la lan-\linebreak \texttt{« gue} Hindostani moderne et la Persane en \linebreak \texttt{« regard} de la langue Maori, faisant voir nom-\linebreak \texttt{« bre} d'accords remarquables entre elles. Les \linebreak \texttt{« mots} cités étaient en eux-mêmes pleins d'his-\linebreak \texttt{« toire} et ont fourni la preuve du grand espace \linebreak \texttt{« de} temps écoulé, depuis que les Maori ont \linebreak \texttt{« habité} l'Inde. \par \texttt{« Par}lant des langues de l'\qlink{annoCI}{Europe\rotatedcomma{}} l'orateur a\linebreak \texttt{« fait} voir que des centaines de mots semblables\linebreak \texttt{« à} ceux de la langue Maori se trouvent dans les\linebreak \texttt{« langues} \qlink{annoCI}{grecque\rotatedcomma{}} latine, lithuanienne, celte,\linebreak \texttt{« etc.} etc. Mais la partie la plus intéressante de\linebreak \texttt{« son} étude était celle qui constatait l'identité\linebreak \texttt{« du} Maori et de l'Anglais, en ne tenant pas\linebreak \texttt{« compte} des mots Anglo-Maori, mots fabriqués\linebreak \restoregeometry \pagebreak